La quatre-vingt-quinzième sourate, vingt-huitième dans l’ordre chronologique, comprend huit versets. L’adjuration n’est plus faite au nom des ciels et de la terre, mais se complète par l’évocation de nouveaux symboles, des fruits qui poussent sur le Sinaï, haut lieu biblique.
La sourate est d’une inspiration qui rappelle celle des quatre versets de la sourate 103: le mystère de l’être confronté à Allah et à lui-même.
Par le figuier, par l’olivier,