La quatre-vingt-quatorzième sourate, douzième selon l’ordre chronologique, compte huit versets. Elle semble avoir été proclamée peu après la sourate 93 dont elle prolonge les échos. Les symboles les plus lumineux montrent qu’Allah a créé l’homme pour les perfections du Paradis. À lui d’y atteindre.
Ne t’avons-nous pas dilaté la poitrine