La quatre-vingt-onzième sourate, vingt-sixième dans l’ordre chronologique, compte quinze versets d’inspiration mekkoise. Le titre est emprunté au verset 1.
Le texte débute par des adjurations à l’univers entier, placé devant les deux routes qui mènent au Paradis ou dans la Géhenne. Il se conclut sur une évocation des terribles conséquences de nos choix.
Par le soleil et par son aube,