La quatre-vingt-douzième sourate, neuvième dans l’ordre chronologique, compte vingt et un versets d’inspiration mekkoise. Le titre, tiré du verset 1, contraste avec celui de la sourate précédente, le Soleil.
Une fois de plus, l’Appel élève un avertissement à l’homme de se préparer aux rigueurs du Jugement dernier. Comme dans les sourates 89 et 103, l’antithèse jour-nuit sert de support à une méditation sur la condition humaine, ouverte sur l’Infini d’Allah – ou sur les supplices de la Géhenne.
Par la Nuit, quand elle engloutit,