La quatre-vingt et unième sourate, septième dans l’ordre chronologique, compte vingt-neuf versets d’inspiration mekkoise.
Le thème majeur est un nouveau développement sur les Signes annonciateurs du Jugement dernier. Le texte débute par une série de métaphores sur les Signes annonciateurs décrivant les phénomènes cosmiques qui accompagneront l’événement (1-13). Il se poursuit et s’achève sur l’affirmation de la transcendance d’Allah, et sur la parfaite authenticité de l’Appel et du Nabi qui l’annonce.
Quand le soleil sera enroulé,