La soixante-dix-huitième sourate, quatre-vingtième selon l’ordre chronologique, compte quarante versets d’inspiration mekkoise. L’introduction proclame la vérité de l’Appel descendu des ciels (1-5). Allah est le créateur omnipotent et omniprésent (6-16). L’Autre monde se situe dans l’universel devenir de la création, au seuil du Paradis ou de la Géhenne. Un rythme haletant anime la vision prodigieuse de l’Inspiré.
Sur quoi s’interrogent-ils ?