La soixante et unième sourate, cent neuvième dans l’ordre chronologique, compte quatorze versets d’inspiration médinoise, cinquième de la série commençant par la sourate 57. Son titre est pris au verset 4.
Elle reprend les thèmes inlassablement répétés: la gloire d’Allah est la lumière suprême, sublime et désirable. L’homme se doit tout entier au triomphe final de l’Appel descendu des ciels. L’hypocrisie, la vantardise, la couardise desservent les progrès de la pacification.
Tout, dans les ciels et sur la terre, glorifie Allah, Lui, l’Intransigeant, le Sage.