La quatre-vingt-huitième sourate, soixante-huitième dans l’ordre chronologique, compte vingt-six versets d’inspiration mekkoise. Cette sourate est souvent proclamée dans les liturgies du vendredi et des fêtes (voir 62. 9).
Elle évoque à nouveau les affres et les gloires de la Résurrection qui engloutira toutes les illusions de l’ancien monde. Chacun est appelé à rendre ses comptes.
T’est-elle parvenue, la geste de l’Engloutissante ?