La quatre-vingt-cinquième sourate, vingt-septième dans l’ordre chronologique, parmi les premières d’inspiration mekkoise, comprend vingt-deux versets.
Les sourates des débuts de la vocation prophétique de Muhammad, d’une rare beauté poétique et mystique, sont habitées par la présence obsessionnelle, pourrait-on dire, d’Allah. Les adorateurs d’Allah sont persécutés, martyrisés. Mais Allah est leur gardien. Il traitera leurs persécuteurs en tant qu’ennemis de la Vérité. Dans la Géhenne, ils subiront le supplice de la Calcination, à jamais.
Par le ciel, doté de Bordjs,