La soixante-huitième sourate, deuxième dans l’ordre chronologique, la première étant la sourate 96, compte cinquante-deux versets d’inspiration mekkoise, sauf les versets 17-33 et 48-50, qui auraient été proclamés à Médine. Son titre Al-Qalam, le Calame, est tiré du verset 1. Elle est parfois désignée sous le titre de Nûn, le poisson.
Une première partie célèbre les mérites du Nabi (1-16); suit une parabole, celle des Maîtres du Jardin (17-34); elle se termine sur un nouvel appel aux « associateurs » (35-52).
N. Nûn. Par le Calame et ce qu’ils écrivent,