La cinquante et unième sourate, soixante-septième dans l’ordre chronologique, compte soixante versets d’inspiration mekkoise. Elle est, après la sourate 50, la deuxième d’une nouvelle série de sept, où l’accent est mis sur la transcendance de l’Écrit et le mystère de l’au-delà.
La première partie oppose la mouvance de la création où les vents soufflent dans toutes les directions et l’immuabilité de la parole d’Allah (1 à 23).
La deuxième partie confirme l’authenticité de la parole d’Allah par les événements qu’elle suscite dans l’Histoire. Immuable, certaine, ceux qui l’écoutent et la suivent vont au Paradis. La Géhenne attend les autres (24 à 60).
Par les Disperseurs dispersants,