Elles ne se valent pas, les Deux-Mers, celle-ci potable, douce, agréable à boire celle-là salée, saumâtre. Mais des deux, la chair fraîche vous nourrit, et vous y pêchez des perles dont vous vous parez. Tu vois la felouque y voguer, à la poursuite de ses richesses. Peut-être serez-vous reconnaissants.