La centième sourate, quatorzième dans l’ordre chronologique, compte onze versets d’inspiration mekkoise. Pour sa profondeur mystique, par ses rythmes, hélas intraduisibles, pour le chant de sa langue aux échos presque magiques en leur incantation, cette sourate s’apparente à la sourate 79. L’objet en est le contraste entre la splendeur de la création et la vulnérabilité de son secret défaut, l’homme.
Par les Cavalcades haletantes,