Dis-leur : Je ne trouve, dans ce qui m'a été révélé, d'autre défense, pour celui qui vent se nourrir, que les animaux morts, le sang qui a coulé et la chair du porc[25] : car c'est une abomina [ 115 ]tion· Il y a défense de manger, par pure prévarication, ce qui a été tué sous l'invocation d'un autre nom que celui de Dieu, sauf si l'on y est forcé, et qu'on ne le mange pas par désobéissance et intention de pécher ; et certes Dieu est indulgent et miséricordieux.