Et une partie en revient aussi à ceux qui, déjà installés dans le pays et dans la foi, accueillirent les émigrés avec joie, sans ressentir la moindre envie pour ce que ces derniers recevaient, allant même jusqu'à se priver en leur faveur, malgré leur propre indigence. Heureux les gens qui savent se prémunir contre leur propre avarice !