Ceux qui étaient toujours en possession de leurs demeures et ont embrassé la foi précédemment[3], chérissent les hommes qui se réfugient chez eux. Leurs cœurs sont exempts de toute convoi[ 455 ]tise, ils ne désirent point ce qui échoit aux autres ; ils leur donnent même la préférence dans leur générosité, bien que l’indigence soit aussi parmi eux. Or, ceux qui prémunissent leurs cœurs contre l’avarice seront les bienheureux.