Quant à ceux (les Auxiliaires - Ansâr - de Médine) qui s'étaient établis avant eux dans cette cité (Médine) et dans la foi, ils aiment ceux qui ont émigré vers eux et ne trouvent dans leurs cœurs nul motif d'envie pour ce qui a été donné à ces émigrés. Ils les préfèrent à eux mêmes, même si l'indigence les a frappés. Quiconque prend garde à sa propre avidité... ceux-là sont les bienheureux !