Voici le tableau du paradis qui a été promis aux hommes pieux : des ruisseaux dont l’eau ne se gâte jamais, des ruisseaux de lait dont le goût ne s’altérera jamais, des ruisseaux de vin, délices de ceux qui en boiront[5]. Des ruisseaux de miel pur, toutes sortes de fruits, et le pardon des péchés. En sera-t-il ainsi de celui qui, condamné au séjour du feu, sera abreuvé d’une eau bouillante qui lui déchirera les entrailles ?