N'as-tu pas remarqué la réaction de certains de ces gens à qui on avait dit de cesser les hostilités et de se consacrer à l'accomplissement de la salât et à la pratique de la zakât et qui, lorsque l'ordre de reprendre le combat fut ensuite donné, se mirent à craindre l'ennemi comme on craint Dieu, sinon plus encore? «Seigneur, s'écrièrent-ils, pourquoi nous prescris-Tu de reprendre le combat? Que ne reportes-Tu cette prescription à une date ultérieure?» Dis-leur : «Le plaisir que procure la vie en ce monde est bien précaire, tandis que la vie future a bien plus de valeur pour les croyants qui n'y subiront pas la moindre injustice.»