8فَالتَقَطَهُ آلُ فِرعَونَ لِيَكونَ لَهُم عَدُوًّا وَحَزَنًا ۗ إِنَّ فِرعَونَ وَهامانَ وَجُنودَهُما كانوا خاطِئينَKazimirski Bibersteinla femme de Pharaon lui dit un jour : Cet enfant sera notre consolation[6] ; ne le mettez pas à mort, peut-être nous sera-t-il utile un jour ; adoptons-le pour notre fils. Ils ne savaient rien.