Cette sourate de quatre-vingt-treize versets, la quarante-huitième dans l’ordre chronologique, a été proclamée, avec celle qui la précède et les deux qui la suivent, au milieu de la période mekkoise. Son titre vient du verset 18.
Les merveilles de la création reflètent les splendeurs du monde spirituel. L’introduction (1-6) précède de nouveaux développements sur les histoires de Mûssa (7-14), de Dâwûd, de Sulaïmân (15-41) et des Thamûd (45-58). La gloire d’Allah est répandue sur toute Sa Création: les justes le voient, les coupables l’éprouveront à l’heure inéluctable du jugement (59-93).
T. S. Tâ’. Sîn. Voici les Signes de l’Appel, al-Qur’ân, l’Écrit distinct,