On n’impute pas à crime à un aveugle, ni à un boiteux, ni à un homme malade, de manger à vos tables ; ni à vous, si vous faites vos repas dans vos maisons, dans celles de vos pères ou de vos mères, ou de vos frères, ou de vos oncles et de vos tantes paternels, ou de vos oncles et de vos tantes maternels, dans les maisons dont vous avez les clefs, dans celles de vos amis. Il n’y a aucun inconvénient pour vous à manger en commun ou séparément[10].