Que ceux qui ne peuvent trouver un parti à cause de leur pauvreté vivent dans la continence jusqu’à ce que Dieu les ait enrichis, de sa faveur. Si quelqu’un de vos esclaves vous demande son affranchissement par écrit, donnez-le-lui si vous l’en jugez digne, donnez-leur quelque peu de ces biens que Dieu vous a accordés. Ne forcez point vos servantes à se prostituer pour vous procurer des biens passagers de ce monde, si elles désirent garder leur pudicité[9]. Si quelqu’un les y forçait, Dieu leur pardonnerait à cause de la contrainte ; il est indulgent et compatissant.