— O mon peuple ! Répondit Choaib, dites·le-moi : si j’ai reçu de Dieu une preuve évidente, et s’il m’accorde une belle part de ses biens, dois··je ne pas m’opposer a ce qu’il m’a défendu ? Je ne veux que vous corriger, autant que je le puis ; ma seule assistance me vient de Dieu, c’est en lui que j’ai mis ma confiance, et c’est à lui que je retournerai.