98أَوَأَمِنَ أَهلُ القُرىٰ أَن يَأتِيَهُم بَأسُنا ضُحًى وَهُم يَلعَبونَAndré ChouraquiOu bien, les tentes de la cité croient-ils que notre malheur ne les atteindra pas en plein jour, tandis qu’ils se divertissent ?